Vous trouverez d’innombrables articles, livres, vidéos et blogues consacrés à l’art de vivre avec moins – pas seulement en faisant l’économie de biens matériels, mais aussi en ne conservant que les personnes, les activités et les aspects de notre vie qui nous apportent le bonheur et la liberté de vivre comme nous l’entendons. Mais il existe aussi une autre façon de goûter à une vie plus simple : opter pour une résidence pour aînés, où simplicité et liberté vont de pair.
Le maintien, la multiplication ou l’approfondissement des liens sociaux dans votre vie quotidienne peut contribuer à prévenir ou à atténuer la dépression et l’anxiété, à protéger votre cœur et à renforcer votre système immunitaire. Des études démontrent que des liens sociaux solides et le soutien qu’ils apportent protègent également la santé du cerveau et peuvent réduire le risque de déficits cognitifs et d’incapacité physique, en plus de favoriser une plus grande longévité.
La vie en résidence est une option qui répond à toutes ces préoccupations. Il s’agit d’un environnement convivial et sécuritaire, qui propose des repas et des services d’entretien ménager, ainsi que la possibilité de rencontrer des gens et d’avoir des amis là où vous vivez. Les occasions de socialiser facilement représentent l’un des meilleurs aspects de la vie en résidence. Personne ne devrait passer ses années de retraite seul et isolé.
C’est une question courante : pourquoi envisager de vivre dans une résidence pour aînés si je n’ai pas besoin de soins infirmiers ou de soutien en tout temps? Bien que des services de soutien personnel adaptés à vos besoins particuliers soient offerts dans les résidences pour aînés (y compris une gamme de services simples, comme la gestion des médicaments, et des services plus importants, comme l'aide à la routine quotidienne, l'accompagnement aux repas et aux activités, et d’autres soins d'assistance), celles-ci conviennent également aux aînés actifs et indépendants.
Et si on vous diagnostiquait de l’hypertension artérielle, du diabète ou tout autre problème de santé? Vous vous attendriez à discuter des meilleurs traitements possibles avec votre médecin et, la plupart du temps, à recevoir une ordonnance pour vous procurer des médicaments. Or, si en plus des pilules, on vous prescrivait de participer à un projet de jardinage communautaire, de faire partie d’une chorale pour aînés ou d’entrer en contact avec certains services sociaux adaptés à votre situation unique? La « prescription sociale » tient compte du fait que notre santé – et notre guérison – n’est pas la chasse gardée des docteurs et de la médecine.
Les études démontrent que les aînés peuvent maintenir et améliorer leur santé cérébrale en adoptant un mode de vie qui inclut de l’activité physique régulière, une stimulation cognitive et sociale et une bonne alimentation. Les résidences pour aînés offrent à leurs résidents un accès facile à des séances d’exercice en groupe, à des activités qui stimulent à la fois le corps et l’esprit, à des ateliers de gymnastique cérébrale, à des jeux et à des groupes de discussion, le tout dans un environnement communautaire qui favorise la santé du cerveau. Les résidents peuvent également trouver un sens et un but à leur vie en participant à des programmes de bénévolat et en profitant de repas délicieux et nutritifs en compagnie de leurs amis.
Les Canadiennes vivent environ quatre ans de plus que les Canadiens, mais les femmes de 65 ans et plus sont plus susceptibles de souffrir de déficits cognitifs, d’ostéoporose, d’arthrose, de dépression et de migraines et de subir un accident vasculaire cérébral. Une sensibilisation accrue à ces risques peut permettre aux femmes de prévenir ou de gérer ces maladies en suivant un programme personnalisé de prévention des déficits cognitifs et en faisant des exercices d’amplitude de mouvement pour l’arthrite, par exemple. Le renforcement des liens sociaux peut prévenir ou aider à soulager la dépression, et des marches rapides quotidiennes peuvent contribuer à la solidité des os.
Bien que février soit le mois le plus court de l’année, il peut parfois sembler très long pour les aînés, alors que le printemps est encore loin. Voici cinq façons de profiter de ce mois, même si le temps est plus froid et plus maussade que nous le souhaiterions!
La consommation modérée de certaines gâteries de la Saint-Valentin offre des bienfaits surprenants pour la santé des aînés. Des études suggèrent que le chocolat noir, riche en flavanols, peut améliorer la santé du cœur et du cerveau, ainsi que l’humeur. Boire un verre de vin rouge au souper peut réduire le risque de diabète et de maladie cardiaque, tandis que savourer des fraises enrobées de chocolat peut réduire l’inflammation.
Avez-vous pu vous réunir avec vos amis et votre famille pendant la période des Fêtes? Pour de nombreux aînés, c’était la première fois depuis deux ans qu’ils pouvaient profiter de ces rassemblements, même s’ils ont parfois dû prendre des précautions en matière de santé.
Maintenir un poids santé et stable peut s’avérer difficile pour les aînés en raison de facteurs tels que le ralentissement du métabolisme, la réduction des besoins caloriques et les changements au niveau de l’odorat et du goût. Prendre fréquemment de plus petits repas, choisir des aliments riches en nutriments et manger avec d’autres personnes peut augmenter l’appétit des aînés qui tentent de prendre du poids. Faire de l’exercice régulièrement, opter pour des choix alimentaires plus sains et réduire les portions peut aider à perdre les kilos en trop.
Les carences en vitamine D sont plus fréquentes chez les aînés, surtout lorsque les journées s’assombrissent en hiver. Un apport quotidien suffisant en vitamine D par le biais de suppléments et de sources alimentaires est important pour la santé des os, la fonction musculaire et l’activité cérébrale. Un apport quotidien adéquat en vitamine D renforce également l’immunité et peut réduire les risques de diabète de type 2, d’ostéoporose, de maladie auto-immune, de cancer et d’autres affections associées à un faible taux de vitamine D dans le sang.
La période des Fêtes, normalement synonyme de joie, peut aussi être stressante. Il est particulièrement important pour les aînés de prendre soin d’eux-mêmes afin de gérer les changements dans les habitudes alimentaires, d’exercice et de sommeil, ainsi que la pression qui les pousse à multiplier les activités sociales. L'exercice physique, les techniques de relaxation, la consommation modérée d’aliments riches et un bon sommeil permettent de réduire le stress, de se ressourcer et de rester en bonne santé pour profiter pleinement des moments passés avec la famille et les amis.
Ce n’est pas le fruit de votre imagination : en plus d’être plus sèche en hiver, votre peau peut aussi présenter des démangeaisons désagréables. Il s’agit d’une affection dermatologique bien connue, qu’on appelle « prurit hivernal », et selon une étude réalisée pour une grande marque de crème pour la peau, six Américains sur dix en souffrent.
Vous cherchez un moyen d’augmenter votre capacité de marche tout en ménageant vos articulations, en faisant travailler le haut du corps et le tronc, et en améliorant votre équilibre? Découvrez la marche nordique, une activité amusante et adaptée aux aînés, que tout le monde, y compris les personnes souffrant d’arthrite, de problèmes d’épaule et de la maladie de Parkinson, peut trouver agréable et utile pour gérer sa santé.
Avez-vous remarqué que novembre est le mois le plus poilu? Depuis 15 ans, les hommes canadiens se laissent pousser la moustache en novembre pour soutenir la recherche sur le cancer de la prostate par l’intermédiaire de la Fondation Movember.